CINÉ : SÉANCE 6

Il s’agit de Juju, il y a 12 ans à Biarritz.

Le surf a occupé une grande partie de sa vie, et tout s’est envolé lorsqu’elle a commencé à faire de la compétition. Elle a toujours été compétitive, dans et hors de l’eau. Elle adore la compétition, mais cela l’a éloignée des raisons pour lesquelles elle a commencé à surfer. Ce n’était plus amusant. Elle pourrait passer des jours sans surfer, mais ne se laisserait pas épuiser. L’été dernier, après une blessure à la cheville, elle a passé la majeure partie de son été sur le canapé et a réalisé à quel point le surf lui manquait, et comment cela l’éloignait de ses problèmes. Parfois, il faut toucher le fond avant de pouvoir remonter au sommet. Il lui fallait se perdre pour retrouver son chemin. Et elle a trouvé un moyen de se mettre au défi et de faire les choses différemment. Ce voyage consiste à trouver la lumière dans les ténèbres et à ne jamais abandonner ses rêves.

BLOOOM, un film sorti de l’esprit de Niels Schack, qui suit l’équipe de Burton Street dans sa plus haute expression créative.

Une vision commune du snowboard a réuni les riders internationaux Gian Sutter, Sebi Springeth et Finn Westbury.

Filmé par Marco Morandi, l’équipe explore la Finlande, la Norvège et le Canada, en retrouvant des amis en cours de route.

Skier n’est pas un art et les skieurs ne sont pas des artistes. À moins, bien sûr, que le ski soit un art et les skieurs soient des artistes ? Le quatrième long métrage réalisé par Faction est un concentré de créativité à travers plusieurs séquences de freeski : des rues vibrantes du Japon aux coussins de poudreuse de la Colombie-Britannique, en passant par les parcs soigneusement entretenus de la Suisse et de l’Italie. Chaque lieu est une toile vierge pour l’expression artistique de l’équipe. Car rien n’est plus artistique que de se jeter de falaises et de skier sur le flanc d’un immeuble.

Un film de snowboard réalisé par Lobsters pour les perdants, comme We Are Losers 2.